Potée d'oeillet de Chine (Dianthus chinensis 'Dancing Geisha'), Paris 19e (75)

Quand j’ai découvert hier ces oeillets aux fleurs incroyables en me promenant dans le marché aux fleurs de l’Île de la Cité (Paris 1er), je n’ai pas pu résister. J’ai immédiatement acheté deux potées, une aux fleurs blanches, l’autre aux fleurs rouge cerise. Des oeillets de Chine, baptisés ‘Dancing Geisha’.

Potée d'oeillet de Chine (Dianthus chinensis 'Dancing Geisha'), Paris 19e (75)

Potée d'oeillet de Chine (Dianthus chinensis 'Dancing Geisha'), Paris 19e (75)

Potée d'oeillet de Chine (Dianthus chinensis 'Dancing Geisha'), Paris 19e (75)

Ce n’est qu’en rentrant chez moi que j’ai découvert qu’il s’agissait d’oeillet de Chine, car le feuillage rappelle plutôt celui des oeillets des fleuristes ou des oeillets mignardises, avec des feuilles étroites bleutées. Un feuillage d’oeillet plutôt classique avec des hampes florales bien raides et dressées, qui portent ces fleurs inouïes.

Potée d'oeillet de Chine (Dianthus chinensis 'Dancing Geisha'), Paris 19e (75)

Les fleurs sont très grandes avec des pétales finement laciniés qui donnent un aspect échevelé à la floraison et à la plante. Une floraison frangée très spectaculaire. “Very showy’ ou “impressive” diraient nos amis anglais…

Potée d'oeillet de Chine (Dianthus chinensis 'Dancing Geisha'), Paris 19e (75)

Potée d'oeillet de Chine (Dianthus chinensis 'Dancing Geisha'), Paris 19e (75)

Superbe, non ?

Potée d'oeillet de Chine (Dianthus chinensis 'Dancing Geisha'), Paris 19e (75)

La floraison devrait durer tout l’été. Le vendeur m’a assuré que cet oeillet était vivace, avec une rusticité jusqu’à -10 °C. On verra bien, mais en attendant, je vais essayer de lui trouver une place où je pourrai l’admirer tout à loisir. Quand les travaux seront terminés…