Le printemps humide et surtout froid a beaucoup retardé la floraison des roses qui commencent à s’ouvrir un peu partout dans Paris et les alentours. L’épanouissement des premiers boutons est toujours un bonheur qui se renouvelle au fil des années.
Juin, le temps des roses
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Alain Delavie
Agronome de formation et jardinier passionné depuis sa plus tendre enfance, collectionneur de plantes, Alain Delavie a exercé différents métiers toujours en étroite relation avec le monde végétal et le jardin, en commençant par celui de pépiniériste collectionneur avant de devenir journaliste et auteur spécialisé dans le jardinage. Il est aujourd'hui directeur des rédactions de Rustica (hebdomadaire Rustica, trimestriels Rustica Pratique et Rustica Les Essentiels).
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Cet article a 3 commentaires
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Une seule rose à l’extérieur presque épanouie pour le moment, d’autres en boutons mais une bonne quinzaine avec les branches qui se sont faufilées à l’intérieur par le toit de la véranda.
Bien contente de n’avoir pas raccourci les branches ; il faudra tout de même faire une petite toilette pour que les roses ne soient pas coincées dans la gouttière ou touchent le toit car alors elles sont brûlées partiellement.
Un jour j’ai vu dans un magazine des beaux rosiers en fleurs en tout début de printemps dans des très grandes serres en Belgique. Peut être une amorce de solution de dépannage pour contrer le mauvais temps, un capuchon comme pour les tomates !!!
ici seuls quelques boutons s’ouvrent doucement, mais je suis à la campagne, il fait plus frais encore que dans Paris intre-muros !!!
Même phénomène que pour les bulbes en début d’année : les floraisons sont dispersées, erratiques, une rose par-ci par là.. Certaines roses fragiles sont fripées de naissance. Selon mes informations, Bagatelle est bien morne…ou du moins l’était il y a quelques jours.