Un mimosa et on oublie d’un seul coup toute cette grisaille ambiante, ces nuages et la brume qui plombent le paysage et donne un air sinistre à la ville.
Le jaune des petits glomérules est tellement éclatant et lumineux ! Du soleil en fleur !
Dans la grisaille parisienne, les mimosas font leur show
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À propos de l'auteur : Alain Delavie
Agronome de formation et jardinier passionné depuis sa plus tendre enfance, collectionneur de plantes, Alain Delavie a exercé différents métiers toujours en étroite relation avec le monde végétal et le jardin, en commençant par celui de pépiniériste collectionneur avant de devenir journaliste et auteur spécialisé dans le jardinage. Il est aujourd'hui directeur des rédactions de Rustica (hebdomadaire Rustica, trimestriels Rustica Pratique et Rustica Les Essentiels).
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5 Commentaires
Les commentaires sont fermés.
Mais ce ne sont que des parisiens d’adoption, sortis des serres déjà bien fleuris et arrivés en pot… Les quelques mimosas cultivés dans les jardins n’ont pas aussi bonne mine et surtout il n’y a pas de fleurs, grillées par les gelées de février.
superbe
Faut-il qu’un mimosa soit parisien pour avoir le privilège de fleurir cette année ? Ceux de Pau ,même ceux bien exposés du boulevard des Pyrénées ,ont grillé sous le gel et font triste mine…sous un soleil éclatant ces derniers jours.
Ceux de Paris sont d’un jaune éclatant , beaucoup plus que ceux d’Oléron où je suis en ce moment ! je pense que c’est du au fait que
sur l’île il y a eu bcp de gel et de vents froids au début février ,
qui a nui aux mimosas
somptueux ! pas d’autre mot !