Vivre avec les mauvaises herbes
Vivre avec les mauvaises herbes ? Guylaine Goulfier, Éditions Massin, février 2022.
Vivre avec les mauvaises herbes ? Guylaine Goulfier, Éditions Massin, février 2022.
Du soleil et de l'eau à volonté, il n'en faut pas plus pour que les plantes poussent, surtout les mauvaises herbes qui vont s'installer dans les endroits les plus improbables, comme sur ce coussin flottant entre un bateau et le quai du Bassin de la Villette (Paris 19e).
Un début de printemps plutôt bien arrosé suivi de belles journées chaudes, le temps de ces dernières semaines est idéal pour doper la croissance des mauvaises herbes qui ont vite envahi le moindre coin de terre laissé à nu.
Les plantes poussent parfois dans les endroits les plus improbables dans la ville. Parfois sur un mur, dans une gouttière, sur le toit, dans la moindre fissure du trottoir ou de la chaussée... La nature a vite fait de tenter de reprendre ses droits sur notre univers bétonné de citadin. En voici un autre exemple vu dans le 20e arrondissement, avec une plaque fermant une ouverture de cave.
Pour vous permettre de participer plus facilement à l'observatoire Sauvages de ma rue et à l'observation des plantes que l'on peut rencontrer en ville, un petit ouvrage vient d'être publié…
Qu'il fasse beau et chaud ou plus frais, l'arrivée du printemps a dopé la croissance des mauvaises herbes dans la nature et les jardins. Quand le désherbage n'a pas été systématique dès la reprise de la végétation de ces végétaux prolifiques, certains pieds commencent déjà à se propager, envoyant leurs graines coloniser les plates-bandes et coins de terre dénudés.