Tradescantia albiflora 'Albo-vittata' au début du printemps sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Avec les nombreux jours de gel qui ont marqué le dernier hiver parisien, j’étais un peu inquiet quant au devenir des misères que je cultive en plein air sans aucune protection dans les jardinières sur mon balcon parisien. Le feuillage a grillé, mais les souches n’ont pas gelé et de nouvelles pousses apparaissent.

Tradescantia albiflora 'Albo-vittata' au début du printemps sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Je cultive Tradescantia albiflora ‘Albo-vittata’ depuis trois années successives, et elle a supporté tous les hivers, même ce dernier beaucoup plus froid que les deux précédents. Toutes les tiges qui retombaient le long de la jardinière n’avaient pas gelé, mais elles étaient très dégarnies et pour tout dire, vraiment moches. Elles ont été rabattues et les nouvelles qui poussent devraient vite reformer une belle cascade verte et blanche.

Tradescantia albiflora 'Albo-vittata' au début du printemps sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Dans une autre jardinière, j’avais installé des pieds de Tradescantia ‘Nanouk’ qui ont aussi résisté. Cette belle misère plus souvent proposée comme plante d’intérieur devrait vite retrouver un plus bel aspect.

Tradescantia 'Nanouk' au début du printemps sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

La seule misère qui n’a pas résisté, c’est la délicate misère gypsophile (Gibasis siderasis). Mais en fait je n’en suis pas si sûr, car son feuillage gèle facilement, la souche repart alors très tardivement au printemps. Je vais peut être voir des pousses ressortir…