Impatience d'intérieur souffrant de la chaleur estivale, plante d'intérieur, Paris 19e (75)

J’ai beau aérer toute la nuit, essayer de faire courant d’air, fermer les volets avant le lever du soleil, installer des grandes soucoupes remplies d’eau sous les cache-pot de mes plantes d’intérieur, la température ne baisse plus en dessous de 28°C depuis quelques jours. Et cela ne convient pas du tout à mes pauvres impatiences qui ont triste mine.

Impatience d'intérieur souffrant de la chaleur estivale, plante d'intérieur, Paris 19e (75)

Je n’ai pourtant pas oublié de les arroser, sans pour autant les noyer, ce qui est souvent le risque en plein été. Mais dès que les fortes chaleurs se sont installées dans la capitale, les feuilles de mes impatiences ont commencé à se flétrir, tombant rapidement. Il y a toujours des jeunes pousses qui se forment, mais la canicule n’est pas encore terminée…

Chaque potée est placée dans un cache-pot, lui même installé au centre d’une grande soucoupe que je remplis en permanence avec de l’eau pour augmenter l’hygrométrie autour des plantes. J’ai fait la même chose avec quelques autres de mes plantes d’intérieur. Et je vaporise de l’eau douce sans calcaire à la tombée de la nuit sur toutes mes plantes d’intérieur. Ça rafraîchit l’atmosphère un court instant, tant que toute l’eau ne s’est pas évaporée.

J’ai de la chance, je n’ai pas vu d’araignées rouges pour le moment, car ces sales bestioles raffolent d’un temps chaud et sec. Mes brumisations font peut-être plus d’effet que je ne le pense.