Séminaire : Pour une nature urbaine sans pesticides

Séminaire : Pour une nature urbaine sans pesticides

Le Conseil général du Val-de-Marne organise un séminaire d’échanges d’expériences autour de l’objectif de réduction de l’usage des pesticides. L’évènement se déroulera le mardi 11 octobre 2011,de 9h à 17h30, à la Maison des Syndicats à Créteil (94).

Notre cadre de vie en zone urbaine est fragilisé par de trop nombreuses agressions. Les décideurs, aménageurs, acteurs et gestionnaires de l’espace public sont aujourd’hui soucieux de l’impact de leurs gestes quotidiens. Ils réfléchissent ensemble à des actions responsables et raisonnées afin de rendre notre environnement durable.

Informations pratiques :
Maison des Syndicats Michel Germa
11, rue des Archives, 94000 Créteil.
Stationnement possible : parking de la Brèche – avenue de la Brèche (mise à disposition de tickets pour un stationnement gratuit).
Accès en transports en commun : Métro ligne 8, station Créteil Préfecture.
Inscription recommandée au tél. : 01 43 99 82 70.
Renseignements : Adèle Colvez, [email protected] ou 01 49 56 86 49.

Alain Delavie

Agronome de formation et jardinier passionné depuis sa plus tendre enfance, collectionneur de plantes, Alain Delavie a exercé différents métiers toujours en étroite relation avec le monde végétal et le jardin, en commençant par celui de pépiniériste collectionneur avant de devenir journaliste et auteur spécialisé dans le jardinage. Il est aujourd'hui directeur des rédactions de Rustica (hebdomadaire Rustica, trimestriels Rustica Pratique et Rustica Les Essentiels).

Cette publication a un commentaire

  1. Josette

    L’Essonne ferait bien de s’en inspirer. Quand on voit des orchidées de toutes sortes, des roses-trémières,de la sauge, des oeillets en voie de disparition, traités comme des indésirables par la D.D.E qui les ratiboise à la moulinette sur les talus sans discernement aucun, quand on voit l’harnachement des “cantonniers” en tenue N.B.C. “Nucléaire, Bactéries, Chimique” en train de pulvériser les produits toxiques le long des trottoirs près des badauds qui font leurs courses, il y a de quoi se faire du souci et de se demander à quoi a servi “Le Grenelle.

    Pour ma part j’ai déjà essayé d’alerter ; j’ai eu droit à des gens plus occupés à piquer un “roupillon” que de se préocuper des cas de “maltraitance” que je leur signalais. Grrr…Saluons donc l’initiative du Val de Marne.

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