Une mauvaise herbe qui vaut bien une belle graminée d’ornement
Avec ces fins épillets retombants, cette grosse touffe de graminée sauvage, une mauvaise herbe en fait, mériterait bien une place dans nos massifs tant elle est élégante et raffinée.
À propos des plantes sauvages, non cultivées.
Avec ces fins épillets retombants, cette grosse touffe de graminée sauvage, une mauvaise herbe en fait, mériterait bien une place dans nos massifs tant elle est élégante et raffinée.
L'hiver et le début du printemps humides ont donné une fière allure à ce gros pied de pissenlit qui dresse sa fleur très haut au-dessus de la rosette de feuilles…
À peine retardées par l'hiver qui n'en finissait pas et le début de printemps glacial, les mauvaises herbes montrent déjà une belle vigueur et devraient proliférer très vite avec la douceur humide revenue.
Quelques jours après l'épisode de neige et de gelées qui s'est abattu sur Paris et la région parisienne, les pâquerettes (Bellis perennis) sont déjà refleuries, comme si de rien n'était.
Bellis perennis, beauté éternelle, elle porte décidément bien son nom cette petite fleur sauvage qui s'invite dans les pelouses. Et qui continue à fleurir dans la capitale comme si de rien n'était en cette toute fin de décembre et d'année.