Mais on peut espérer qu’il nous l’annonce…
En ce moment, cette primevère officinale (Primula veris) peut pousser et fleurir autant qu’elle le souhaite dans les pelouses, elle ne craint pas le passage de la tondeuse, l’herbe poussant au ralenti à cause de la fraicheur persistante.
J’ai bien peur que ces pauvres coucous ne supportent pas le piétinement estival et l’écrasement répétés sous les gens vautrés par terre :-)
Ca serait une bonne idée que de les répandre dans les pelouses parisiennes. Ils font bons ménage avec l’herbe et poussent à une période où gens ne se vautrent pas encore .
J’aime bien le fait d’avoir laissé la feuille morte – c’eut été si facile et tentant de l’ôter… Mais elle n’est pas là par hasard, et met la plante en valeur.
Que j’aime le coucou, souvenir d’enfance des friches de la banlieue…