Une mauvaise herbe qui vaut bien une belle graminée d’ornement
Avec ces fins épillets retombants, cette grosse touffe de graminée sauvage, une mauvaise herbe en fait, mériterait bien une place dans nos massifs tant elle est élégante et raffinée.
À propos de la ville de Paris, capitale de la France où j’ai le plaisir de vivre
Avec ces fins épillets retombants, cette grosse touffe de graminée sauvage, une mauvaise herbe en fait, mériterait bien une place dans nos massifs tant elle est élégante et raffinée.
Les bidens avaient tout pour me plaire, sauf la couleur des fleurs jaune d'or très vif que je n'aime pas. 'Pirate's Pearl' avec sa floraison blanc pur me séduit davantage. Mais quand je suis passé hier sur le Marché aux Fleurs de l'Île de la Cité (Paris 4ème) et que j'ai aperçu ce bidens à fleurs orange vif, je n'en croyais pas mes yeux. Le temps que je réalise qu'il s'agissait vraiment d'un bidens et hop, aussitôt acheté et emporté.
En cherchant d'autres exemplaires du némésia orange que j'avais installé dans une des jardinières sur mon balcon, je suis tombé sur deux autres variétés assez proches, notamment 'Clémentine', aux grandes fleurs mariant différents tons d'orange.
Oui, regardez bien sur la photo ci-dessus, le rosier est sur le balcon au 5ème étage. Un gros buisson couvert de fleurs roses, tout la haut. Superbe rosier !
Malgré le retard de la végétation en raison d'un hiver tardif suivi d'un printemps trop frais, les fleurs annuelles les plus rustiques commencent à prendre davantage d'ampleur et quelques unes donnent leurs premières fleurs, comme ces cosmos photographiés dans le parc des Buttes-Chaumont (Paris 19e).
J'ai profité du temps relativement clément pendant le week-end des Rendez-vous aux jardins pour aller découvrir le petit jardin du Musée Eugène Delacroix, situé en plein coeur de Paris dans le 6ème arrondissement. Un havre de tranquillité dans l'effervescence bouillonnante et bruyante du quartier de Saint-Germain et de la capitale.