Envahissant, le pourpier sauvage (Portulaca oleracea) est le plus souvent considéré comme une mauvaise herbe. Certains l’apprécient pour son feuillage croquant et charnu. Mais un beau pied ne manque pas d’attrait en bordure…

Ce pied bien fourni s’est invité tout seul bien sûr, mais son feuillage brillant, d’un joli vert foncé et ses minuscules fleurs jaunes qui ne s’ouvrent qu’en plein soleil en font un compagnon charmant pour cette bordure de cinéraires maritimes et de sauges qui résistent visiblement moins bien au manque d’eau.

Cette petite plante annuelle exige une exposition très ensoleillée et un sol bien drainé pour prospérer. À associer à d’autres plantes robustes, qui ne se laissent pas envahir.

Pour reconnaître le pourpier sauvage, voici une page de photos réalisées par l’INRA Dijon, montrant tous les stades du végétal depuis les jeunes plantules : http://www2.dijon.inra.fr/bga/phototheque/main.php?g2_itemId=4897