Sans ses nouvelles feuilles d'un rouge pétaradant et avec ses gros bouquets de fleurs blanc crème, le photinia ne manque pas de charme en ce début du printemps. Et en plus il offre nectar et pollen aux abeilles.
Avec leurs épillets qui frémissent au moindre souffle de vent et se mettent à briller au soleil, ces graminées sauvages, qui envahissent un talus le long de la Petite Ceinture dans le 19ème arrondissement de Paris, ne méritent pas qu'on les appelle des mauvaises herbes. Elles sont si jolies et gracieuses !
Rien n'arrête l'arbre aux papillons (Buddleia davidii) qui peut pousser dans les endroits les plus inattendus. C'est le cas pour ce jeune plant qui est allé s'accrocher sur le mur de soutien de la Petite Ceinture, dans la rue de l'Ourcq (Paris 19e).
Quand je suis sorti hier dimanche matin pour aller faire des courses, je n'avais pas mis les pieds dans les rues parisiennes depuis une semaine. Sous un soleil radieux, j'ai savouré le trajet jusqu'aux commerces et ce court moment de "liberté" au grand air. Et j'ai pu apprécier les nouvelles floraisons apparues, comme celle de cette magnifique glycine.
Quand le confinement a commencé en France et plus particulièrement dans Paris, la plupart des arbres étaient dépourvus de feuilles, les bourgeons commençaient à peine à s'ouvrir. Au cours de mes rares sorties (une par semaine), à chaque fois j'ai été étonné par les évolutions importantes de la végétation et la transformation du paysage urbain. Les arbres sont désormais bien feuillus.
Il y a quelques semaines, je vous montrais ma "récolte" de larves d'otiorhynques trouvées dans une des potées de mon balcon parisien. Depuis je suis intervenu dans toutes les autres jardinières et j'ai encore trouvé ces sales bêtes qui bouffent les tendres racines des plantes. J'ai donc commandé des nématodes HB utilisés pour éliminer tous les vers blancs. Hier j'ai traité toutes mes potées et jardinières, sans aucune exception !
