Le retour des giboulées
Le mois de mars n'est pas encore commencé, mais les giboulées sont déjà au rendez-vous et douchent copieusement les parisiens qui n'ont pas pensé à leur parapluie. Les jardins et la nature ne manque pas d'eau !
Le mois de mars n'est pas encore commencé, mais les giboulées sont déjà au rendez-vous et douchent copieusement les parisiens qui n'ont pas pensé à leur parapluie. Les jardins et la nature ne manque pas d'eau !
Les températures clémentes pour la saison que nous connaissons depuis la mi-décembre sont remarquables par leur durée (pratiquement un mois) et par leur intensité (excédent de 5 à 10°C des températures). Ce temps printanier exceptionnel influe fortement sur la végétation. Certains arbres ou arbustes caducs ont encore gardé quelques feuilles.
L'accumulation de petits nuages pommelés (des altocumulus) dans le ciel annonce souvent l'arrivée de la pluie.
Le temps doux permet aux fleurs annuelles les plus rustiques de continuer à fleurir en hiver comme ce pied d'impatience de Balfour (Impatiens balfourii) photographié à la veille de l'Épiphanie dans le parc Gustave Eiffel à Levallois (Hauts-de-Seine).
À Paris et en région parisienne, les températures restent positives et douces pour la saison. Une douceur qui ne doit pas tromper notre vigilance.
La tempête Dirk a plongé une partie de la France dans le noir ou sous les eaux, mais mon balcon parisien protégé des vents violents du sud-ouest a plutôt bénéficié d'un bon coup de nettoyage après les heures de bourrasques qui ont emporté au loin les feuilles qui tardaient à tomber ou qui s'étaient accumulées entre les potées.