Les saintpaulias se bouturent facilement à partir d'une feuille avec pétiole, soit dans l'eau, soit dans un substrat léger et bien drainé. J'ai reçu six variétés et j'ai préféré un enracinement dans l'eau cette fois-ci.
Après les trois fêtes des plantes visitées vendredi et samedi dernier, j'avais de nombreux jeunes plants à planter. J'ai réussi à trouver une place pour un grand nombre d'entre eux, il ne m'en reste plus beaucoup à installer, mais je n'avais pas les pots que je voulais, je suis en attente de la commande pour terminer mes plantations pour ce printemps.
Plus de sacs de terreau et de fumier, plus d'outils de jardinage qui trainent, plus de boites d'engrais, plus de jeunes plants en godets en attente d'une plantation... Il m'aura fallu plusieurs week-ends et jours de congés pour arriver à refaire et replanter toutes les potées et jardinières installées sur mon balcon.
L’édition 2025 du baromètre Ifop pour l’Union Nationale des Entreprises du Paysage (Unep) révèle un paradoxe francilien : si seuls 45 % des habitants disposent d’un jardin – contre 64 % au niveau national – 80 % de ceux qui en ont un adoptent des gestes en faveur de l’environnement, un taux parmi les plus élevés du pays.
Sur cette photo, tout le travail que j'ai déjà réalisé sur mon balcon ne saute pas aux yeux. Et pourtant, il ne me reste plus que trois grandes jardinières et deux grosses potées à replanter et toutes mes plantations seront achevées.
À partir de la trentaine de graines reçues de Begonia alchemilloides, une petite dizaine de plants ont germé. Le week-end dernier j'ai transplanté les plus vigoureux dans trois terrariums.
