Chrysanthème ‘Goshoma Haru’, Chrysanthemum 'Goshoma Haru', en automne sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Très tardif, le chrysanthème ‘Goshoma Haru’ attend le mois de novembre pour se mettre à fleurir et se couvrir de fleurs échevelées d’un joli rose soutenu.

Chrysanthème ‘Goshoma Haru’, Chrysanthemum 'Goshoma Haru', en automne sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Rien à voir avec les variétés aux fleurs bien régulières que l’on nous propose en quantités au moment de la Toussaint. Cette variété rustique et vigoureuse donne des fleurs atypiques, ébouriffées mais d’une très grande finesse.

Chrysanthème ‘Goshoma Haru’, Chrysanthemum 'Goshoma Haru', en automne sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

En quelques années, mon pied s’est beaucoup développé au point de remplir son grand pot. L’année prochaine, je vais être obligé de le dépoter et de le diviser pour lui permettre de pousser avec encore plus de vigueur.

Chrysanthème ‘Goshoma Haru’, Chrysanthemum 'Goshoma Haru', en automne sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Mais en attendant, je profite de cette floraison insolite très tardive qui me permet d’avoir encore des fleurs sur mon balcon parisien en ce mois de novembre.

Chrysanthème ‘Goshoma Haru’, Chrysanthemum 'Goshoma Haru', en automne sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Quand on observe les fleurs (des inflorescences avec de grands ligules qui ressemblent à des pétales), on peut admirer toute la délicatesse et la sophistication de cette belle et robuste variété.

Chrysanthème ‘Goshoma Haru’, Chrysanthemum 'Goshoma Haru', en automne sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

La touffe s’étend sur un bon mètre de diamètre, les tiges s’étant dirigées à l’extérieur du balcon, au-dessus de la rue vers le soleil. Les tiges qui semblent fragiles résistent très bien aux coups de vent, sans aucun tuteurage.

Chrysanthème ‘Goshoma Haru’, Chrysanthemum 'Goshoma Haru', en automne sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)