Bilan climatique provisoire de l’hiver 2012-2013
L’hiver météorologique 2012-2013 (décembre, janvier et février) en France s’est révélé plutôt frais, avec une pluviométrie sensiblement excédentaire et un ensoleillement déficitaire.
L’hiver météorologique 2012-2013 (décembre, janvier et février) en France s’est révélé plutôt frais, avec une pluviométrie sensiblement excédentaire et un ensoleillement déficitaire.
Qu'il s'agisse des températures, des précipitations ou de l'ensoleillement, l'année 2012 s'annonce globalement sur la France comme assez proche de la normale.
L'automne 2012 (automne météorologique : septembre, octobre et novembre), globalement doux, a été marqué par un temps très agité, avec une succession de perturbations qui ont largement arrosé un grand quart nord-ouest de l'Hexagone, des pluies diluviennes sur les Pyrénées et dans le Sud-Est, et des épisodes de vent violent.
Les résultats du projet Epicea (Étude pluridisciplinaire des impacts du changement climatique à l’échelle de l’agglomération parisienne) ont été présentés le 25 octobre 2012 à l’occasion des Journées Parisiennes de l’Énergie et du Climat organisées par la Ville de Paris. Le projet Epicea a été mené conjointement par Météo-France et le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) pour apporter un éclairage scientifique sur de possibles adaptations du territoire face au changement climatique. Dévolu aux questions d'aménagement à long terme, de météorologie urbaine et d’impact du réchauffement climatique sur la capitale, le projet Epicea a été financé par la Ville de Paris. Il entre dans le cadre du programme de recherche "Paris 2030".
Après un mois de juin très pluvieux, le mauvais temps s’est prolongé durant ce mois de juillet 2012 qui a été marqué par de nombreux épisodes pluvio-orageux sur le nord, alors que la moitié sud a bénéficié d’un temps plus sec et ensoleillé à partir du 15.
Le mois de juin 2012 a été marqué par de nombreux passages pluvieux en début de mois sur l’ensemble de la France, puis par des conditions contrastées entre le nord et le sud du pays. À Paris et en région parisienne, nous n'avons pas été gâté !