Les marronniers parisiens hissent leurs feuillage et déploient leurs grandes feuilles palmées à 5 ou 7 folioles disposées à l'extrémité de longs pétioles rougeoyants. Quelques rameaux situés à portée du regard permettent de profiter de ce spectacle printanier.
Pour le printemps, Becquet invite la nature sur ses draps, ses housses de couette, ses taies et traversins. Mettez vous au vert !
Le mois de janvier s'achève, mais certains arbres parisiens pourtant caducs ont encore conservé une bonne partie de leur feuillage. Les quelques jours de gelées n'ont pas réussi à faire tomber les dernières feuilles toujours accrochées aux arbres. Ce petit saule tortueux est un bon exemple de cette végétation perturbée.
Cet arbre (un tremble il me semble) planté le long du canal Saint-Denis et du parc de la Villette (Paris 19e) a conservé toutes ses feuilles en hiver alors qu'il s'agit d'une espèce caduque.
D'habitude, les feuillages des arbres caducs tombent en masse en novembre, à quelques exceptions près comme ceux des bouleaux qui n'en finissent jamais de jaunir et de se dégarnir. Mais cette année, la douceur exceptionnelle de cet automne a permis à certaines essences de se parer de belles couleurs et de garder encore beaucoup de feuilles alors que les fêtes de fin d'année sont imminentes.
Je vous ai déjà montré cet érable du Japon l'année dernière à peu près à la même époque, avec de belles couleurs d'automne. Mais cette année, la douceur de l'arrière saison a permis à cet arbuste situé dans le square Bolivar (Paris 19e ) de se parer complètement de chaudes couleurs éclatantes.
