Franprix distribue des graines pour fleurir la ville et nourrir les abeilles

Franprix distribue des graines pour fleurir la ville et nourrir les abeilles

Opération "Des fleurs sur la ville", Franprix et Fermes de Gally, avril 2018
Les 4 et 7 avril 2018, Franprix offrira 200 000 sachets de graines de fleurs mellifères et nectarifères dans 60 de ses magasins et dans 9 quartiers emblématiques des anciens villages parisiens : Bastille, Belleville, Bercy, Grenelle-Vaugirard, La Villette, Les Halles, Montmartre, Mouffetard, Passy.

Les 4 et 7 avril 2018, soixante Franprix s’animeront et s’habilleront aux couleurs de l’opération “Fleurs sur la Ville” : mobiles suspendus, barres de caisses, stop-trottoir… Les collaborateurs offriront à leurs clients des sachets de graines. Neuf quartiers parisiens s’animeront de 10h à 19h autour de brouettes fleuries et colorées. Des hôtes et des hôtesses en bottes et tabliers de jardinier distribueront les sachets de graines aux familles et aux amoureux de la nature.

Franprix a fait appel aux Fermes de Gally, spécialiste de la nature en ville et engagé depuis de nombreuses années pour la préservation des abeilles et de l’écosystème, afin de choisir et sélectionner les graines de fleurs mellifères et nectarifères. Ces variétés, une fois en fleur, apporteront aux abeilles une matière première de qualité, nécessaire à leur alimentation.

Alain Delavie

Agronome de formation et jardinier passionné depuis sa plus tendre enfance, collectionneur de plantes, Alain Delavie a exercé différents métiers toujours en étroite relation avec le monde végétal et le jardin, en commençant par celui de pépiniériste collectionneur avant de devenir journaliste et auteur spécialisé dans le jardinage. Il est aujourd'hui directeur des rédactions de Rustica (hebdomadaire Rustica, trimestriels Rustica Pratique et Rustica Les Essentiels).

Cette publication a un commentaire

  1. jpp

    Nourrir les abeilles est une bonne idée car on sait maintenant qu’à force de mettre partout des ruches à Paris, elles crèvent de faim…
    Mais aussi : si on se préoccupait un peu des autres espèces moins médiatiques…
    Et je tremble maintenant à l’idée de mettre mon tablier de jardinier : on pourrait me prendre pour un employé de chez Franprix !

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