Avant-première du film L’éveil de la Permaculture à L’Entrepôt (Paris 14e)

Avant-première du film L’éveil de la Permaculture à L’Entrepôt (Paris 14e)

Affiche du film L'éveil de la permaculture, Adrien Bellay
Le cinéma L’entrepôt, dans le 14ème arrondissement de Paris, programme en avant-première le film L’éveil de la permaculture le mardi 18 avril 2017 à 19h50.

La permaculture laisse entrevoir une lueur d’espoir avec ses solutions écologiquement soutenables, économiquement viables et socialement équitables. Accessible à tous, elle peut être mise en œuvre partout… Aujourd’hui, des hommes et des femmes se rencontrent et expérimentent cette alternative crédible. La transition “permacole” est en marche !

Année : 2017
Genre : Documentaire
Nationalité : France
Durée : 82 minutes
Réalisateur : Adrien Bellay

Site internet : http://leveildelapermaculture-lefilm.com/
Page Facebook : https://www.facebook.com/leveildelapermaculture/

L’Entrepôt
7, rue Francis de Pressensé, 75014 Paris.
Plein tarif : 8 €. Tarif réduit : 6.5 €. Tarif enfant : 5 €.
Métro : ligne 13, station Pernety.

Alain Delavie

Agronome de formation et jardinier passionné depuis sa plus tendre enfance, collectionneur de plantes, Alain Delavie a exercé différents métiers toujours en étroite relation avec le monde végétal et le jardin, en commençant par celui de pépiniériste collectionneur avant de devenir journaliste et auteur spécialisé dans le jardinage. Il est aujourd'hui directeur des rédactions de Rustica (hebdomadaire Rustica, trimestriels Rustica Pratique et Rustica Les Essentiels).

Cette publication a un commentaire

  1. jpp

    Le rêve d’une harmonie retrouvée avec la nature…
    Si la permaculture était la panacée universelle , on ne voit pas pourquoi elle tarde tant à se généraliser. Il y a quelques expériences très intéressantes, c’est vrai. Et des tas de tentatives de néophytes , vite abandonnées…
    Il faut relire “la Lettre aux paysans sur la pauvreté et la paix” de Giono (1938). A travers ce manifeste pacifiste , il lance un grand appel au retour à l’agriculture paysanne de subsistance et à la lampe à pétrole. Texte magnifique.
    Moi j’ai en mémoire ce vieux paysan se tenant les reins, me parlant avec un gigantesque sourire de la première moissonneuse batteuse : “ah la moise bat !”.

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