Arrosage automatique Gardena sur mon balcon en été, rue de Nantes, Paris 19e (75)
N’ayant pas d’arrivée d’eau sur mon balcon parisien, je cherchais à la fois un moyen d’alléger ma corvée d’arrosage quotidienne et de pouvoir apporter de l’eau aux plantes les plus exigeantes pendant mes absences au cours de mes vacances d’été. J’ai finalement opté pour l’arrosage automatique de vacances de Gardena.

Arrosage automatique Gardena sur mon balcon en été, rue de Nantes, Paris 19e (75)
Le système d’arrosage est simple : une pompe à refoulement envoie chaque jour de l’eau stockée dans un réservoir de 9 litres pendant 1 minute dans les tuyaux capillaires disposés au pied des plantes ayant besoin d’un arrosage régulier. Il n’est pas nécessaire d’avoir un point d’eau sur son balcon, par contre il faut une prise électrique à proximité, ce qui oblige de laisser une fenêtre entrouverte pour que la pompe puisse fonctionner une fois par jour. L’heure de l’arrosage est fixée par le moment où l’on branche la pompe sur la prise de courant, ce qui déclenche un premier arrosage. Les jours suivants, la pompe fonctionne à la même heure, une fois seulement par 24 heures.Après quelques jours de fonctionnement, j’ai constaté que l’arrosage une fois par jour pendant 1 minute était très insuffisant pour certaines espèces végétales très gourmandes en eau. Notamment pour l’immense pied d’Alcathea ‘Parkallee’ qui assèche sa grande jardinière en moins de 24 heures. Et pourtant, j’y avais installé 12 goutteurs rien que pour cette seule jardinière, en choisissant le répartiteur gris foncé (photo ci-dessus) distribuant le plus grand volume d’eau (60 ml par sortie et par jour). Mais j’ai résolu le problème en branchant la prise de la pompe sur un programmateur que j’ai réglé avec six arrêts et six démarrages pour permettre six arrosages par 24 heures. 3 en soirée, 3 en fin de nuit, quand les températures sont les plus basses et l’évaporation la plus faible. Et là, tout a été mieux, les plantes semblent avoir assez d’eau. Mais cela pose un autre problème : le remplissage du réservoir, qui ne se vide plus en une semaine mais en deux jours… En cas d’absence, il faut donc une bonne âme pour venir remplir la cuve tous les deux jours car la pompe ne doit jamais fonctionner à vide. C’est contraignant, mais beaucoup moins qu’un arrosage plante par plante, plus difficile pour un non jardinier et surtout beaucoup plus long à effectuer.

Ce n’est donc pas vraiment la bonne solution pour une absence prolongée sauf quand on a peu de plantes et que ces dernières n’ont pas de gros besoins en eau. Et dans ce dernier cas, il ne faut pas partir plus d’une semaine, sinon le réservoir se vide complètement. Mais par contre, cela me permet d’irriguer en permanence les plantes gourmandes en eau qui n’assèchent plus complètement le substrat de leur jardinière ou potée entre mes arrosages plus importants. Je ne dois plus les arroser impérativement chaque jour, mais tous les deux ou trois jours suivant la météo. Dans les petites suspensions, la journée de canicule n’est plus un problème, je ne crains plus de retrouver le soir les plantes assoiffées et fanées comme cela est arrivé début juillet même en les arrosant copieusement le matin.