Mes vacances se terminent, je suis de retour à Paris après un séjour en bord de mer à Étretat (76) où je me suis amusé à photographier le ciel avec quelques nuages au cours de mes balades sur les hauteurs des célèbres falaises.
Le graphisme de la feuille du Ginkgo biloba se suffit à lui-même, mais quand la pluie laisse quelques gouttelettes d'eau sur le limbe ailé et finement nervuré, le spectacle mérite que l'on s'arrête pour le contempler davantage.
Les jours se suivent et la chaleur se fait de plus en plus forte et oppressante. Avec des arrosages réguliers et copieux, certaines plantes résistent bien sur mon balcon parisien surchauffé et continuent à fleurir avec générosité. La preuve en photos...
Cette année assez tardivement au printemps, j'ai ressemé des belles-de-nuit (Mirabilis jalapa), directement en place dans les jardinières. La levée a été rapide et j'ai maintenant des beaux plants qui, pour certains, commencent à former leurs boutons floraux. La chaleur ? Même pas peur !
Décidément, l'année 2020 continue dans le pénible ! La sécheresse s'est installée dans de nombreux départements français et les prévisions météorologiques nous annoncent des températures exceptionnellement chaudes pour ce jeudi 30 juillet et surtout vendredi 31 juillet. Des conditions néfastes tout autant pour les personnes que les plantes.
La pluie a fait son retour sur la capitale depuis un peu plus de 24 heures et elle a laissé un souvenir sur le magnifique feuillage de ma canne de Provence 'Variegata Compact Elly'. Quelques jolies gouttes d'eau qui sont autant de petites loupes mettant en valeur le motif de la panachure sur les feuilles rubanées.
