Quand j’ai acheté mon appartement parisien il y a plus de vingt ans, je cultivais chaque année plusieurs variétés et espèces d’impatience. Mais les épisodes de fortes chaleurs de plus en plus précoces et nombreux, avec des canicules à répétition m’ont vite dissuadé de poursuivre, car ces plantes d’ombre fraîche ne supportent pas les températures élevées et encore moins l’air trop sec de la grande ville.
Cette année, j’ai replanté un plant d’Impatiens sodenii, mais cette espèce demande davantage de soleil que les impatiences les plus classiques, hybrides d’Impatiens walleriana. Mais je me suis laissé tenté par un petit pied pour l’installer dans le coin le moins ensoleillé de mon balcon. Pour l’instant l’impatience pousse à vue d’oeil et fleurit de plus en plus. Je vais voir comment elle va supporter la première vague de chaleur que nous connaissons en ce moment… et les suivantes ! À suivre…