Alors que j’attendais l’ouverture du salon de coiffure où j’avais rendez-vous de bonne heure samedi dernier, un pigeon s’est approché de moi sans aucune hésitation pour venir me fixer de son oeil curieux à moins d’un mètre. Pas farouche l’animal !
Avec le confinement, les pigeons habitués à récupérer les miettes sur les terrasses ou les trottoirs ont été mis au régime sec ou plutôt à un régime plus naturel et certainement plus sain. Mais ce pigeon parisien a du croire que j’allais lui donner quelque chose à manger. Et comme j’étais tout seul et immobile dans la petite rue de la Corderie, près du Carreau du Temple (Paris 3e), l’oiseau visiblement habitué à la présence humaine n’a pas eu peur.
Le pigeon présentait ses doléances car chassé du balcon d’Alain…
Presque tous les soirs je vois un hérisson qui se dirige dare-dare vers l’abri de mes chattes qui ont fêté leur 17 ans en mai.
L’ennui c’est qu’Il renversait tous les jours le bol d’eau (eau de source tout de même) mais j’ai fini par le caler dans un autre récipient
et depuis plus de gâchis.
Il fini les gamelles et j’entends très bien ses dents faire un festin des restes de croquettes.
Bien contente de cette compagnie.
hier soir, c’est un hérisson qui s’est approché tout près de la véranda! tout mignon
Pour moi la surpopulation de pigeons à Paris est telle que je les considère comme des nuisibles : ils bousillent mes semis et bectent les jeunes pousses . Surtout ils propagent des maladies. Le problème sanitaire posé par les pigeons est sans doute bien supérieur à celui posé par les rats. Et pourtant les mêmes personnes qui hurlent contre les rats -plus ou moins à juste titre- continuent à nourri les pigeons..