Tradescantia 'Nanouk' en début d'automne sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Tradescantia ‘Nanouk’ est une belle misère au feuillage panaché haut en couleurs. Chez moi, je l’ai installée sur mon balcon à mi-ombre où elle a passé toute la belle saison. Elle s’est beaucoup développée tout en gardant sa belle panachure et ses teintes vives.

Tradescantia 'Nanouk' en début d'automne sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Les feuilles arborent des stries de couleur crème plus ou moins rosée alternées avec des rayures vertes à vert de gris. Leur revers est d’un rose tyrien soutenu, encore plus spectaculaire quand la plante est baigné de soleil.

Tradescantia 'Nanouk' en début d'automne sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Les tiges et les feuilles sont assez épaisses, avec un petit côté plante grasse. Cette misère est d’ailleurs vigoureuse, mais sa croissance n’est pas aussi rapide que les autres misères plus classiques. Après quelques mois de culture avec des arrosages réguliers, les tiges ont poussé de 20 à 30 centimètres tout au plus, la touffe gardant un port bien ramifié.

Tradescantia 'Nanouk' en début d'automne sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Comme la plupart des misères et la phalangère, elle peut être cultivée à l’intérieur, mais c’est une excellente plante pour balcons et terrasses pendant la belle saison.

Tradescantia 'Nanouk' en début d'automne sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

La panachure est vraiment très bien marquée. Et j’aime beaucoup l’évolution du crème rose au crème blanc avec ces touches de vert argenté et de rose tyrien.

Tradescantia 'Nanouk' en début d'automne sur mon balcon parisien, Paris 19e (75)

Par transparence, le rose tyrien du revers des feuilles est très marqué, encore plus avec quelques rayons de soleil. Superbe !

Mais maintenant, je vais devoir rentrer cette belle misère exotique avant l’arrivée des gelées. Je vais peut-être la placer dans mon bureau moins chauffé que mon appartement et surtout avec de grandes baies vitrées.