Ce début de printemps est décidément très frais et arrosé. Cela joue sur notre moral, à la baisse par manque d’ensoleillement, mais il y a aussi des conséquences dans les jardins. Les maladies commencent à se montrer…

Notamment le blanc (ou oïdium) qui tache déjà les rosiers.
Regardez les feuilles et les boutons de ce rosier parisien : des taches de feutrage blanc grisatre se dessinent sur les feuilles, certains boutons sont recouverts de cette pellicule encore anodine, mais qui va vite se propager si vous n’agissez pas sans tarder.

Le meilleur traitement est préventif, sur des plantes qui ne présentent pas de symptômes d’attaque. Quant le champignon s’est développé, on peut enrayer sa propagation en appliquant des traitements antifongiques (la décoction de prêle est excellente).
Eviter de traiter si le temps est menaçant ou si les prévisions météorologiques prévoient des averses dans les 24 heures. Et pensez à renouveler le traitement après une forte pluie.