J’ai déjà vanté les mérites de cette misère gypsophile que je cultive depuis plusieurs années sur mon balcon comme une plante vivace rustique. Mais cette année, non seulement elle a gardé son feuillage pendant l’hiver sans protection particulière, mais les fortes chaleurs ne l’ont pas non plus perturbée.
J’ai installé ma misère gypsophile (Gibasis geniculata) dans un pot design beaucoup plus haut que large sur mon balcon parisien, en plein air toute l’année. Comme elle a gardé son feuillage l’hiver dernier, elle retombe désormais tout au long de la potée et forme une cascade dense de feuillage sur lequel une multitude de petites fleurs blanches apparaissent chaque matin.
À Paris, je la protège en hiver quand ce dernier est froid et que les fortes gelées durent. Ce qui n’a pas été le cas l’hiver dernier, donc pas de protection et le feuillage est devenu persistant. Elle résiste très bien aux otiorhynques, elle n’est jamais malade et elle ne se ressème pas (contrairement à Tinantia pringlei). À noter que cette misère pousse aussi très bien à l’intérieur, comme les autres misères plus courantes.
Ma mère en avait une, j’adorerais en retrouver… Mais où ?
J’ai déjà eu cette misère mais elle a disparu au bout de 3 ans. Je pense qu’elle n’a pas aimé la neige importante il y a qq années!
J’adore les misères fleurissant bleues les fleurs sont très jolies! Par contre pareil, elle ne supporte pas l’hiver Seine et Marnais très humide!
J’ai une misère vivace arrivée je ne sais comment à saint serge (fleurs bleues pâles très lumineuses) : il semble que la floraison ait été bloquée par la chaleur et reprend seulement maintenant. Elle passe les hiver sans problème en pleine terre.