Garrya elliptica, floraison, chatons en hiver dans le Jardin des plantes, Paris 5e (75)
Les garryas et les noisetiers qui poussent dans la capitale se sont mis à fleurir, laissant pendre leurs longs chatons de fleurs mâles.

Garrya elliptica, floraison, chatons en hiver dans le Jardin des plantes, Paris 5e (75)
Les chatons du Garrya elliptica sont les plus impressionnants. Le sujet qui fleurit en ce moment dans l’école de botanique du Jardin des Plantes de Paris est particulièrement spectaculaire.

Garrya elliptica, floraison, chatons en hiver dans le Jardin des plantes, Paris 5e (75)
Les chatons atteignent les 20 cm de longueur, voire plus. Avec cette couleur unique vert jade tirant sur le gris.

Garrya elliptica, floraison, chatons en hiver dans le Jardin des plantes, Paris 5e (75)

Les chatons du noisetier sont moins longs et plus dorés.

Noisetier (Corylus), floraison, chatons en hiver dans le Jardin des plantes, Paris 5e (75)
Les grains de pollen des fleurs mâles du noisetier sont fortement allergisants. Les pics d’émission de pollen sont le plus souvent enregistrés en février et mars, dès que les températures sont suffisamment douces. Le froid et la pluie réduisent ou stoppent les émissions.

Noisetier (Corylus), floraison, chatons en hiver dans le Jardin des plantes, Paris 5e (75)
Les chatons mâles du noisetier (ou coudrier) sont portés à l’extrémité des rameaux de l’année précédente. Ce sont des inflorescences en épis qui sont composées de 130 à 260 fleurs sans pétale ni sépale. Chaque épi peut libérer plus de 5 millions de grains de pollen.

Noisetier (Corylus), floraison, chatons en hiver dans le Jardin des plantes, Paris 5e (75)