Habituellement cultivées comme plantes d’intérieur, les misères sont parfaites pour les balcons et les terrasses pas trop ensoleillés. Robustes, faciles à cultiver et dotées d’une croissance vigoureuse, elles permettent de composer des potées généreuses. Au fil des années, j’ai cultivé de nombreuses espèces, voici une petite sélection plus insolite.

Aneilema aequinoctiale aux fleurs jaune bouton d’or.
Apoleina multiflora au feuillage vert foncé sur le dessus, rouge pourpre noir brillant au revers.
Gibasis aff. pellucida (= Gibasis geniculata) ou misère gypsophile, couverte en permanence de petites fleurs blanches.
Belosynapsis aux petites fleurs roses et feuilles velues.
Callisia fragrans, géante parmi les misères, aux immenses rosettes et à la rare floraison parfumée.

Streptolirion volubile, immense liane aux feuilles en forme de gros coeur.

Toutes ces espèces exotiques appartiennent à la même famille, celle des Commélinacées.

Laquelle préférez-vous ?