Impatience bleue de l’Himalaya en pleine floraison
Le printemps frais et humide a plutôt réussi à mon nouveau pied d'impatience bleue de l'Himalaya (Impatiens namchawarbensis) qui me donne une superbe floraison avec cette couleur si extraordinaire.
Le printemps frais et humide a plutôt réussi à mon nouveau pied d'impatience bleue de l'Himalaya (Impatiens namchawarbensis) qui me donne une superbe floraison avec cette couleur si extraordinaire.
Cette belle variété d'impatience de Nouvelle-Guinée que je vous présentais en juillet dernier n'a pas démérité et n'a jamais cessé de fleurir depuis que je l'ai installée sur mon balcon. L'arrivée de l'automne n'a pas ralenti ses ardeurs et la floraison est toujours aussi généreuse.
Mon gros pied de coeur-de-Marie 'Valentine' s'étant mis en repos très tôt dés le début de l'été, une des mes grosses potées s'est retrouvée très vide une fois le feuillage coupé au ras du sol. Je me suis mis en quête de plantes annuelles pouvant fleurir à l'ombre. Problème, début juillet il n'y a plus grand chose dans les jardineries et chez les fleuristes. Mais en passant dans la jardinerie Hermès à Neuilly-sur-Seine (92), j'ai trouvé des très beaux pieds d'impatience de Nouvelle Guinée 'Divine'.
L'été indien semble vouloir s'installer, mais il est préférable de rentrer sans plus tarder les plantes vivaces gélives qui peuvent passer l'hiver à l'abri du gel dans une serre, une véranda ou dans une pièce de la maison. C'est le cas pour les plants d'impatiences (Impatiens Walleriana-Hybrides) qui peuvent quitter le jardin pour aller fleurir la maison ou l'appartement.
Cultivée le plus souvent comme une fleur annuelle pour les potées et les massifs d'été, l'impatience de Nouvelle-Guinée est vivace, mais non rustique. Elle peut survivre de nombreuses années tant qu'on la protège du froid.
Quelques nouvelles de ma colonne végétale d'intérieur, Canopus, après un bon mois de culture chez moi. Premier bilan très positif, tout pousse, doucement mais sûrement.