Quelques nouvelles de ma colonne végétale d’intérieur, Canopus, après un bon mois de culture chez moi. Premier bilan très positif, tout pousse, doucement mais sûrement.

Colonne végétale plantée de plantes d'intérieur

Ma colonne végétale Canopus, novembre 2010, photo Alain Delavie

Après cinq semaines d’essai, il faut insister sur le peu d’entretien que réclame ce dispositif ingénieux. J’ai du ajouter deux fois un peu d’eau douce non calcaire dans le fond du bac, c’est tout. La deuxième fois, j’ai arrosé par les orifices d’où sortent les plantes en penchant la colonne parce que je voulais bien mouiller tout le sphagnum, du haut jusqu’en bas. Et pour savoir quand arroser, j’ai changé une des plantes, un pépéromia pas très vigoureux a été remplacé par une bouture non racinée d’impatience (mon impatiens mystère, sans nom). La bouture n’a pas souffert de cette transplantation direct, sans passage par un verre d’eau. Les feuilles ne se sont jamais fanées, au contraire, en quelques semaines la reprise était perceptible et un nouveau bouton de fleur apparaissait.

Colonne végétale de plantes d'intérieur

Impatiens sur ma colonne végétale Canopus, novembre 2010, photo Alain Delavie

L’avantage de cet pousse d’impatience, c’est qu’elle devrait montrer très vite des signes de flétrissement dès qu’elle manquera d’eau, donc dès que le substrat sera trop sec. Ce qui n’est pas le cas des lierres et des ficus pumila, plus longs à montrer des signes de soif. L’impatience est un excellent repère pour arroser quand il faut, juste ce qu’il faut.

Ceci étant, les autres plantes se développent, lentement car la saison est moins favorable (les jours ont beaucoup raccourci) et je ne mets plus d’engrais. Mais les ficus ont fait quelques feuilles, de même que les lierres panachés. Un bon signe.

À suivre…